Le 5 mai dernier, Urbania lançait une chronique décrivant 3 faits amusants sur la pornographique québécoise.
En voici un extrait :
149$
Coût demandé pour suivre une formation intensive au travail d’acteur pornographique, offerte par la compagnie québécoise Pegas Productions. Les candidats intéressés doivent envoyer une photo d’eux en érection, question de correspondre aux critères physiques essentiels à la sélection.
10 films pornographiques québécois au titre hurluberlu
Source : Urbania
Compagnie liée à la production et à la réalisation de télévision et de webtélé, Urbania offre une vision 360° du monde de la porno. Voici donc une incursion dans un tournage de Pegas Productions.
10 ans, Nicola Lafleur a dirigé plus de 150 films et 600 scènes pour Pegas Productions. Il a largement contribué au développement de la porn de chez-nous avec des classiques comme Masseur-fourreur, Aspirantes au bâton ou Ardente et bandante.
Après un passage dans l’émission Sexplora, le producteur s’est confié à URBANIA sur son métier et la difficulté de trouver un acteur « capable de gérer son érection et son éjaculation comme il faut ».
Plongez au coeur d’un tournage d’un film porno en 360° en visonnant le making-of ICI.
Qu’est-ce qui, selon toi, fait la spécificité de la porn québécoise?
Je pense que ce qui nous différencie des autres, c’est que les filles ne sont pas toutes pareilles. Surtout, ce ne sont pas des professionnelles. Les filles sont authentiques. Ce ne sont pas des filles qui tournent deux scènes par jour, tous les jours de la semaine. Elles font vraiment ça pour le kick, pour le fun. On sent vraiment qu’elles s’éclatent en les voyant. Elles ont du plaisir et on s’arrange pour que ça ne change pas.
Source : Urbania