Deux ans après la nouvelle loi obligeant le port du condom lors de tournage de films porno à L.A., le nombre de permis délivré à chuté. Radio-Canada se penche ici sur les causes réelles de cette baisse.
Découvrez les secrets d’un tournage d’une scène porno dans cet article de Pegas Productions pour Nightlife.ca!
En voici un extrait :
Un tournage de film XXX, ça fait toujours rêver! De belles actrices, un endroit de rêve, un concept excitant, un scénario bien développé, tout est réuni pour créer une expérience hors pair. Mais comme toujours dans le monde du porno, la réalité est différente de l’image projetée. Après tout, c’est du divertissement! Mais alors, comment ça se passe réellement le tournage d’une vidéo porno?
La préparation au tournage
En partant, c’est très long le tournage d’une seule scène de sexe! En plus de la vidéo XXX qu’il faut filmer, il y a aussi des photos sexy à prendre et des vidéos promotionnelles à tourner. Et tout ça demande beaucoup de temps! On parle ici d’une journée de tournage qui dure de quatre à cinq heures du début à la fin et là-dessus la scène de sexe ne prend normalement environ qu’une heure ou deux!
Eh oui, pour le sexe, on doit tourner pendant environ une heure trente pour obtenir, au final, environ 45 à 60 minutes de bon matériel! Et dire qu’une fois le montage terminé, on aura une vidéo qui durera seulement 25 à 30 minutes…
Le choix des positions
Dans la vraie vie, on passe d’une position à l’autre selon l’envie du moment. En porno, c’est pas comme ça que ça se passe! Avant de commencer à tourner, chez Pegas Productions, il y a toujours une simulation des positions (en sous-vêtements!) qui se fait. On fait une pratique pour être certain que tout est correct, autant l’emplacement des acteurs que l’éclairage ou les plans de caméra. On prend même des photos pour s’y référer après. Durant le tournage, c’est le réalisateur qui décide quand il a assez de matériel de chaque position. Habituellement, les acteurs savent toujours qu’elle sera la prochaine position puisqu’il y en a toujours deux ou trois de prévus. Chez Pegas Productions, le tournage est donc planifié jusque dans les moindres détails!
Source : Nightlife.ca
Eza Paventi ne recule devant rien pour cette deuxième saison de 21 jours où elle va même jusqu’à assister Pegas Productions lors de différents tournages.
«Montréal, 3e ville en importance pour l’industrie pornographique.» On entend (trop) souvent cette phrase circuler dans les médias, mais est-ce bien vrai? Le site Porn Valley Media semble en douter dans un article qui dépeint l’industrie pornographique québécoise sous un jour peu reluisant. On peut alors se demander quelle place occupe réellement le Québec sur l’échiquier mondial de la pornographie.
Les organisateurs du Rockfest de Montebello sont outrés d’apprendre qu’un film pornographique a été tourné, à leur insu.
Il s’avère qu’au moins une dizaine de festivaliers ont accepté de participer au tournage du film. Ils ont été recrutés sur le site du festival par l’actrice pornographique Pamela Kayne et son équipe. (more…)
La nouvelle émission “Classé XXX” sur Z parle du cours “Pegas 101” pour former des talents mâle pour l’industrie du X.
Voici un résumé de l’émission: (more…)
La nouvelle émission “Classé XXX” sur Z parle du métier de producteur porno et fait un portrait en détail de Nicola Lafleur, Président et Fondateur de l’entreprise de productions pour adultes Pegas Productions.
Voici un résumé de l’émission: (more…)
Lors du Festival western de Saint-Tite, la compagnie de production AD4X en a profité pour tourner un film porno avec des festivaliers.
Voici notre réplique aux méthodes douteuses de la compétition par rapport au film Casting xxx au Festival Western de st-Tite.
(Saint-Tite) Le recrutement de festivaliers dans les rues du Festival western de Saint-Tite pour tourner un film pour adultes, comme l’a fait AD4 Distribution avec son film Quickie: casting à Saint-Tite, est une pratique qui donne une très mauvaise image à l’industrie du sexe, affirme la direction de Pegas Productions, une importante maison de production du Québec.
Hugo Meunier de La Presse dresse un portrait du monde du porno du Québec suite au scandale de Samatha Ardente qui a permis de mieux faire connaître le milieu au public.
Dans le National Post, Peter Kuitenbrouwer interroge Zoé Zebra sur ses motivations à participer à un tournage porno dans lequel elle coucherait avec 25 hommes pour financer des implants mammaires.
Découvrez les dessous de l’industrie porno québécoise sur Nightlife.ca grâce à une série d’articles rédigés par Pegas Productions.
En voici un extrait :
NIGHTLIFE.CA collabore avec la maison de production de films pour adultes québécoise Pegas Productions pour une série d’articles sur le monde de la pornographie. Grâce à NIGHTLIFE.CA et Pegas, la porno n’aura plus aucun secret pour toi…
On le sait, la porno ça se passe pas exactement comme dans la vraie vie. Mais malgré tout, on est tous curieux de savoir comment ça se passe vraiment sur le plateau de tournage d’un film de cul. Chez Pegas Productions, on a notre façon bien à nous de faire ça. On peut certainement dire qu’un tournage, ça demande pas mal plus de préparation et d’organisation qu’une simple partie de jambes en l’air!
L’envers du décor de la préparation
La première étape avant de tourner, c’est de choisir le concept, les acteurs et le lieu. Ça se choisit un peu tout en même temps pour être sûr d’avoir un match parfait!
Le lieu de tournage doit aller avec le concept (bon ça va de soi quand même!), mais il doit aussi répondre à une foule de critères auxquels on ne pense habituellement pas… Premièrement, il faut que ça soit beau. Mais aussi que ça soit grand et lumineux pour laisser assez de place à l’équipe de tournage de Pegas.
Source : Nightlife.ca
Compagnie liée à la production et à la réalisation de télévision et de webtélé, Urbania offre une vision 360° du monde de la porno. Voici donc une incursion dans un tournage de Pegas Productions.
10 ans, Nicola Lafleur a dirigé plus de 150 films et 600 scènes pour Pegas Productions. Il a largement contribué au développement de la porn de chez-nous avec des classiques comme Masseur-fourreur, Aspirantes au bâton ou Ardente et bandante.
Après un passage dans l’émission Sexplora, le producteur s’est confié à URBANIA sur son métier et la difficulté de trouver un acteur « capable de gérer son érection et son éjaculation comme il faut ».
Plongez au coeur d’un tournage d’un film porno en 360° en visonnant le making-of ICI.
Qu’est-ce qui, selon toi, fait la spécificité de la porn québécoise?
Je pense que ce qui nous différencie des autres, c’est que les filles ne sont pas toutes pareilles. Surtout, ce ne sont pas des professionnelles. Les filles sont authentiques. Ce ne sont pas des filles qui tournent deux scènes par jour, tous les jours de la semaine. Elles font vraiment ça pour le kick, pour le fun. On sent vraiment qu’elles s’éclatent en les voyant. Elles ont du plaisir et on s’arrange pour que ça ne change pas.
Source : Urbania
Richard Therrien de La presse parle de la nouvelle émission de Z “Classé XXX”.
En voici un extrait: (more…)
Gabriel Delisle du journal Le Nouvelliste discute du tournage, lors du Festival western de Saint-Tite, d’un film porno produit par AD4X et mettant en vedette Alyson Queen, Vaneska Rex et quelques festivaliers.
Canal+ était à Québec pour faire un reportage sur Pegas Productions pour la très populaire émission mensuelle “Le Journal du Hard” pour les 20 ans de celle-ci. Ils ont assisté à un tournage de notre concept “18 ans et toutes mes dents” où on voit All In se tapper deux étudiantes, des “Carrés Rouges” venues baiser pour payer la hausse des frais de scolarité. Tant qu’à se faire fourrer, autant avoir du fun 😉
L’émission traitera de Pegas Productions mais aussi de Vandal Vyxen, de Samantha Ardente et Derek Tyler et du monde de la porno au Québec.
Lors de nos entrevues, le Rédacteur en chef Olivier Ghis et son équipe ont bien aimé le Québec et notre vision de la porno.
À Voir en Juin sur Canal+