Compagnie liée à la production et à la réalisation de télévision et de webtélé, Urbania offre une vision 360° du monde de la porno. Voici donc une incursion dans un tournage de Pegas Productions.
10 ans, Nicola Lafleur a dirigé plus de 150 films et 600 scènes pour Pegas Productions. Il a largement contribué au développement de la porn de chez-nous avec des classiques comme Masseur-fourreur, Aspirantes au bâton ou Ardente et bandante.
Après un passage dans l’émission Sexplora, le producteur s’est confié à URBANIA sur son métier et la difficulté de trouver un acteur « capable de gérer son érection et son éjaculation comme il faut ».
Plongez au coeur d’un tournage d’un film porno en 360° en visonnant le making-of ICI.
Qu’est-ce qui, selon toi, fait la spécificité de la porn québécoise?
Je pense que ce qui nous différencie des autres, c’est que les filles ne sont pas toutes pareilles. Surtout, ce ne sont pas des professionnelles. Les filles sont authentiques. Ce ne sont pas des filles qui tournent deux scènes par jour, tous les jours de la semaine. Elles font vraiment ça pour le kick, pour le fun. On sent vraiment qu’elles s’éclatent en les voyant. Elles ont du plaisir et on s’arrange pour que ça ne change pas.
Source : Urbania
Eza Paventi ne recule devant rien pour cette deuxième saison de 21 jours où elle va même jusqu’à assister Pegas Productions lors de différents tournages.
«Montréal, 3e ville en importance pour l’industrie pornographique.» On entend (trop) souvent cette phrase circuler dans les médias, mais est-ce bien vrai? Le site Porn Valley Media semble en douter dans un article qui dépeint l’industrie pornographique québécoise sous un jour peu reluisant. On peut alors se demander quelle place occupe réellement le Québec sur l’échiquier mondial de la pornographie.
Deux ans après la nouvelle loi obligeant le port du condom lors de tournage de films porno à L.A., le nombre de permis délivré à chuté. Radio-Canada se penche ici sur les causes réelles de cette baisse.