Plus haute distinction remise par le gouvernement du Québec, l’Ordre national du Québec permet de souligner l’apport d’un Québécois ou d’une Québécoise au rayonnement du Québec ou à l’évolution de la province de façon significative. Comme Samantha Ardente, actrice porno chez Pegas Productions, puis productrice de films pour Sam Ardente Productions a beaucoup contribué à faire parler du Québec partout dans le monde, le gouvernement a décidé de lui remettre cette distinction lors de la cérémonie du 28 mars dernier.
Suite à son congédiement qui a provoqué tout un scandale, en 2011, ses actions éminentes ont permis au Québec de s’illustrer grandement sur la scène européenne. Comme l’actrice porno Samantha Ardente est considérée à l’échelle planétaire comme la secrétaire la plus sexy, le gouvernement a jugé que le titre de Grand Officier de l’Ordre national du Québec permettait de souligner son apport considérable à la culture populaire de la province. Ses films, dont le plus célèbre, Abuseurs en Série 2, a tellement marqué l’évolution du Québec que le premier ministre lui-même trouve que l’Ordre national du Québec permet, sans contredit, de remercier Samantha Ardente pour ses bonnes actions.
Cet article de Raphaël Gendron-Martin présente la situation vécue par la professeure de théâtre Jacqueline Laurent-Auger qui a été mise à la porte pour avoir tourné dans des films osés il y a plus de 30 ans.
Extrait du Journal de Québec :
Samantha Ardente a tourné ses derniers films. L’actrice porno quitte définitivement le monde des films XXX et sera désormais gestionnaire d’un bar à Saint-Flavien, dans Lotbinière.
L’ex-agente de bureau, congédiée il y a près de trois ans par la Commission scolaire des Navigateurs pour avoir mené en parallèle son emploi et une carrière d’actrice porno, travaille depuis janvier sur ses nouveaux projets. (more…)
Suite au scandale entourant l’actrice Samantha Ardente, l’industrie de la production de films porno québécois sort de l’ombre.
Jean-François Racine du Journal de Québec expose que suite au scandale de ce printemps, les Québécois s’intéressent beaucoup aux films tournés par Samantha Ardente qui génèrent des milliers de commandes au canal Indigo.
Dans cet article du Daily Mail Reporter, on découvre que Sam Ardente, suite à sa mise à pied de l’école secondaire où elle travaillait, a décidé de lancer sa propre maison de production de films porno.
Dominique Hardy du 24 Heures de Montréal fait état de la situation en expliquant les raisons derrière la fermeture du compte Facebook en support à l’actrice porno Samantha Ardente.
Kathleen Frenette du Journal de Montréal expose les faits liés à l’histoire de l’actrice porno Sam Ardente qui a beaucoup fait jaser puisqu’elle était aussi secrétaire dans une école secondaire.
«Montréal, 3e ville en importance pour l’industrie pornographique.» On entend (trop) souvent cette phrase circuler dans les médias, mais est-ce bien vrai? Le site Porn Valley Media semble en douter dans un article qui dépeint l’industrie pornographique québécoise sous un jour peu reluisant. On peut alors se demander quelle place occupe réellement le Québec sur l’échiquier mondial de la pornographie.
Un article de LaPresse mentionne de manière erronée que PegasProductions est associé à des pratiques douteuses au Festival St-Tite.
Il s’agit de la compétition qui ont fait signer des cessations de droits à des passants intoxiqués par l’alcool pour les faire tourner dans une scène de sexe. Pegas Productions n’a rien à voir là-dedans et n’a jamais utilisé de telles pratiques douteuses! (more…)
Gabriel Delisle du journal Le Nouvelliste discute du tournage, lors du Festival western de Saint-Tite, d’un film porno produit par AD4X et mettant en vedette Alyson Queen, Vaneska Rex et quelques festivaliers.
Incursion dans la vie de l’actrice porno Alyson Queen qui tourne souvent des films pour Pegas Productions, mais qui est aussi copropriétaire d’un salon de massage érotique et une mère monoparentale.
Hugo Meunier de La Presse dresse un portrait du monde du porno du Québec suite au scandale de Samatha Ardente qui a permis de mieux faire connaître le milieu au public.
Dans cet article du Soleil, le journaliste Marc Allard dresse un portrait des pornstars québécoises qui sont des monsieur et madame Tout-le-Monde qui gagnent leur vie avec un autre emploi.